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Présentation de LARIMRAF

Le laboratoire de recherche
LARIMRAF

« Laboratory of Research in Innovative Management, Risk, Accounting and Finance » a été créé en 2021 suite à la mutation de l’unité de recherche Risk Management and Research in Accounting and Finance (RIM-RAF).

L’unité de recherche RIM-RAF a été créée en 2013 au sein de l’Ecole Supérieure de Commerce de Tunis de l’Université de la Manouba, à l’initiative de son directeur actuel, le Professeur Mohamed Imen GALLALI, du Professeur Kamel Naoui, le Directeur actuel de l’ESC de Tunis et de plusieurs chercheurs tunisiens partageant tous la volonté commune de produire et de consolider les connaissances scientifiques, et de promouvoir la recherche dans les domaines des sciences comptables et financières.

LARIMRAF est membre de
l’Ecole Doctorale ECCOFIGES

de l’université de la Manouba et rassemble actuellement 4 Professeurs des Universités, 11 Maîtres de conférences, 25 Maîtres-assistants, 20 Assistants, 1 Post-doctorants, 33 Docteurs et 45 Doctorants. Sa mission principale consiste à propulser la recherche scientifique en offrant à ses membres les conditions favorables à la réalisation de leurs travaux de recherche et en mettant à leur disposition les moyens nécessaires pour le perfectionnement de leurs publications.

Dès lors, les principaux objectifs de LARIMRAF consistent à :

1.

Explorer les nouvelles pistes de recherche en Finance et traiter des problématiques prometteuses et innovantes, telles que le Risk-management, la gouvernance bancaire, la responsabilité sociétale des entreprises, la volatilité des marchés financiers, l’audit et les théories comptables.

2.

Analyser les nouveaux défis auquel fait face le système monétaire et financier tunisien et examiner les risques financiers dans les deux domaines de finance de marché et finance d’entreprise.

3.

Nouer des relations de coopération avec d’autres centres et unités de recherche en finance, en comptabilité et en méthodes quantitatives à l’échelle nationale et internationale et encourager les conventions de cotutelles et les codirections des thèses de doctorat.

4.

Nouer des relations de partenariat avec les institutions financières, les entreprises et les autorités de régulation nationales afin de réduire l’écart qui perdure entre le milieu académique et professionnel et de favoriser l’insertion professionnelle de ses docteurs et doctorants.

5.

Organiser des colloques, des séminaires, des journées scientifiques et des ateliers doctoraux.

6.

Organiser, pour ses membres, des formations, notamment pour la maîtrise de logiciels économétriques pour qu’ils puissent mener à bien leurs travaux de recherche.

7.

Acquérir les ressources nécessaires pour viser une production scientifique de haut niveau, telles que les bases de données de haute fréquence fournies par la BVMT pour les entreprises tunisiennes cotées en Bourse.

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